Arrêtons d’en parler. Commençons à la mettre en œuvre.
La résilience, on en parle beaucoup. Parfois trop. Au point de déranger, d’agacer, ou d’être catalogué comme « un truc d’écolos extrêmes » ou de consultants perchés. Mais la réalité, c’est que la résilience, on en a tous besoin. Individus, entreprises, territoires, bâtiments, villes.
🧠 Une définition simple : c’est notre capacité à encaisser les chocs… et à continuer à avancer.
Et puisque les chocs (climatiques, énergétiques, économiques, sociaux) sont bel et bien là… autant prévoir un plan.
Quelques exemples qui parlent
🤔 Les mégabassines ? Non, ce n’est pas résilient. C’est même souvent contre-productif. En face, l’hydrologie régénérative montre des résultats concrets, peu coûteux, durables.
🌾 L’agriculture intensive, très consommatrice d’eau et d’intrants ? Pas résiliente non plus. Mais les logiques d’agroforesterie, d’agroécologie, de permaculture et de diversification montrent un autre chemin. Plus sobre, plus sûr, plus viable.
📈 La climatisation à outrance dans les bâtiments tertiaires ? Mauvaise idée. Un coût énergétique et financier croissant, pour une efficacité en déclin. Ce qu’il faut ? Des solutions Low Tech, sobres, durables, optimisées. Un design bioclimatique. Des systèmes pensés pour durer, pas pour colmater.
Côté immo de demain : ça donne quoi ?
C’est l’une des choses que l’on fait au quotidien avec immo de demain :
🔧 Préconiser, coordonner, optimiser. 🧰 Intervenir sur l’existant pour y apporter des solutions sobres, techniques, réglementaires, économiques. 🔄 Faire le lien entre les solutions et les enjeux. Identifier les bonnes synergies. Agir sur les charges, la durabilité, l’ancrage local.
Et tout cela, pas dans un rapport ou un « plan à 10 ans »… mais dans l’action concrète et coordonnée avec les propriétaires, les gestionnaires, les exploitants, les collectivités.
C’est ça, notre plan de résilience. Pragmatique. Durable. Et activable, tout de suite.
Humainement, Miloud